La Convergence Maralpine pour le Climat: Le contre-Seum!

Le Contexte: les 28 et 29 septembre 2023 aura lieu, au palais de la méditerranée à Nice, le « Nice Climate Summit », le rendez-vous des solutions passant par l’argent, la technologie, les grosses entreprises, les banques et les décisions prises d’en haut. Comme l’an dernier, il n’y aura pas de place prévue pour la contradiction, ni pour proposer d’autres visions, ni pour une parole populaire ou citoyenne.  

Mais cette année, nous vous proposons une liste d’événements auxquels vous pouvez participer, qui auront lieu aussi cette semaine là, semblables à tous ceux qui sont proposés toute l’année par les associations et les mouvements qui œuvrent pour un autre monde.

Les annonces des événements sont à retrouver comme d’habitude sur https://nice.demosphere.net/

En voici quelques uns:

Lundi 25 septembre: Projection du film « Croquantes », à 20h au cinéma de Beaulieu-sur-mer, et débat en présence des réalisatrices, organisée par la Confédération Paysanne et les amis de la Conf’. Ce film suit l’aventure collective d’agricultrices qui échangent sur la faible reconnaissance de leur travail par la profession. Un éveil au féminisme et à la sororité. Prix Libre. réservation conseillée.

Mardi 26 septembre: Invitation à assister à la Table ronde sur « l’avenir du climat dans les A-M », salle Laure Écart (Saint-Roch) à 19h Organisé par SESAM, Santé Environnementale06 et Alternatiba06.

Mercredi 27 septembre: Soirée organisée par Alternatiba06, à 19h30, à la BASE (29 route de Turin) : « Jusqu’où sommes nous prêt·e·s à aller pour sauver la Terre? » Table ronde et débat, en présence de membres d’ANV-COP21/XR, Attac, Citoyens pour le Climat, Greenpeace et Scientifiques en Rébellion. Questions autour de la désobéissance civile, de l’activisme, de l’engagement au sens large, ou d’autres plus existentielles, face aux enjeux de notre époque. Accès libre et gratuit dans la limite des places disponibles

jeudi 28 septembre: Projection et débat sur le tourisme à la BASE (29 route de Turin) à 19h30 organisée par Alternatiba06. Un film d’Olivier Eschapasse, « Entre Chiens et Loups », un documentaire de 52mn sur le voyage, le tourisme, l’occupation du lieu des autres… Suivi d’un débat sur les alternatives au tourisme de masse tel qu’il est pratiqué aujourd’hui.

Vendredi 29 septembre: Invitation à participer à la Vélorution organisée par Nice à Vélo au départ du Quai Rauba Capeu à 19h00
Chaque dernier vendredi du mois (ou presque…) c’est Vélorution à Nice !!! Départ à 19h du quai Rauba Capeu. Rendez-vous un peu avant.

Samedi 30 septembre:

Invitation à participer à la rencontre Alternatiba06 sur l’alimentation, à la bibliothèque Raoul Mille (Libération) à 10h00.

Invitation à participer à l’atelier 2Tonnes à la BASE à 14h (pré-inscription obligatoire, si c’est complet d’autres seront programmés prochainement)

Faisons de la place pour d’autres imaginaires!!!

à la semaine prochaine!

alternatiba06@alternatiba.eu

En Septembre à la Base

La Base de Nice fait sa rentrée ! Avec des nouveautés, des « classiques », et les réunions associatives mensuels habituelles. Bienvenu.e.s.

A la fin du mois, ne manquez pas ce nouvel événement : La 1ère semaine de Convergence Maralpine pour le Climat !

  • Lundi 4, de 18h30 à 20h : Réunion mensuelle de Nice à Vélo
  • Lundi 11, de 19h à 21h : Réunion mensuelle de l’Alliance Écologique et Sociale 06
  • Mercredi 13, de 19h30 à 21h30 : Rendez-vous mensuel d’Alternatiba 06, Ouvert aux adhérents et sympathisants – Apéro partagé
  • Jeudi 14, de 19h30 à 21h30 : Réunion mensuelle ANV – XR (Action Non violente et Extinction Rébellion)
  • Jeudi 21, de 19h30 à 22h30 : Soirée COOOL mensuelle ! Spécial rentrée : apéritif INTER-ASSOCIATIF. Rencontre avec les association niçoises, œuvrant à la transition écologique et sociale, et les thématiques proches. Bar ouvert. On peut apporter à manger, ce qui nous fait plaisir de partager. Membres d’association, ou non, soyez les bienvenu.e.s. Un temps sera réservé à la présentation des associations.
  • Vendredi 29, Vélorution, départ 19h à Rauba Capeu, avec Nice à Vélo.
  • Samedi 30, 14h00-17h00 : Atelier « 2 tonnes » avec Alternatiba 06. Selon le GIEC, chaque habitant de notre planète doit réduire ses émissions de CO2, à 2 tonnes par an / par personne. En France, nous sommes à 10 tonnes, en moyenne. Comment faire ? Quelle stratégie adopter ? L’atelier se présente sous la forme d’une simulation par ordinateur.

Du 25 au 30 septembre, plusieurs soirées auront lieu, dans le cadre de la 1ère semaine de la Convergence Maralpine pour le Climat: Le Contre Seum ! : le Programme détaillé !

En Juillet à la BASE

  • Nous avons plusieurs événements « hors les murs » des participant·e·s de la BASE en ce mois de juillet 2023!
  • Samedi 1er juillet : Gratifringues avec Zéro Déchet Nice aux Diables Bleus.
  • Vendredi 7 juillet à 20h : projection au 109 du film d’Olivier. « Entre chien et Loup ». Nous sommes tous touristes, nous sommes tous autochtones…. Adhésion obligatoire à l’Entrepont qui organise et nous accueille au 109, 89 route de Turin.
  • Lundi 10 juillet, 19h : Réunion mensuelle Alliance Écologique et Sociale.
  • Vendredi 14 juillet à 15h : Dans le cadre du Festival des passeurs d’humanité : table ronde/débat avec Alternatiba 06 au Prieuré, à Saint Dalmas de Tende.
  • Jeudi 20 Juillet à 19h30 : Soirée Coool de l’été. Adhésion à la BASE, Bar ouvert. On peut apporter à manger ce qui nous fait plaisir de partager.
  • Vendredi 21 juillet, à 19h30 : Une soirée du festival « Plaide si tu peux! », avec l’association de l’Ariane « Regards croisés » sur le thème de l’écologie populaire et de la démocratie à l’heure de la crise climatique.

Un article de Reporterre: Bâtir des lieux, la nouvelle stratégie des luttes

Par Gaspard d’Allens9 juin 2023 à 09h45Mis à jour le 12 juin 2023 à 14h03

Durée de lecture : 9 minutes

Bâtir des lieux, la nouvelle stratégie des luttes

Bâtir des lieux de rassemblements, « c’est une manière de reprendre le pouvoir sur nos vies », assurent les militants. – © Juliette de Montvallon / Reporterre

Base, café associatif, centre autogéré. Ces dernières années, les militants multiplient les lieux d’accueil et d’organisation des luttes écologistes. Une action « indispensable pour gagner la bataille culturelle », selon eux.

Vous lisez la première partie de l’enquête « Des lieux pour la lutte ». Pour ne pas rater la suite, abonnez-vous à notre lettre d’info.


Il faut des lieux pour habiter les luttes. Des murs entre lesquels cultiver des rêves et bâtir dans la joie, l’autonomie. Des espaces où se retrouver, construire et fomenter de futures batailles. Ce constat, de plus en plus partagé, est celui de nombreuses organisations et collectifs engagés dans le combat écologique et la justice sociale. L’acquisition foncière, la location de locaux ou l’ouverture de squats est devenue une stratégie politique à part entière. Une manière d’ancrer les luttes dans la durée et de les faire vivre au quotidien, au-delà des actions éphémères et du numérique, trop souvent désincarné.

Au sein du mouvement climat, on s’active désormais à l’écart des projecteurs, préparant patiemment la suite. Le temps des grandes marches a cédé la place à une vaste campagne d’implantation de lieux, moins visible mais tout aussi décisive pour « accélérer la métamorphose écologique et sociale de nos territoires », comme l’écrit sur son site, l’association Alternatiba.

Ce travail de longue haleine porte déjà ses fruits. Après Bayonne, Lyon, Marseille, Montpellier, Nancy, Nevers, Nice, Rouen ou encore Toulouse, la quinzième « Alternatibase » a été inaugurée le 14 mai à Grenoble, avec fête et concert. Le lieu doit permettre aux militants écolos de mieux s’organiser localement. Il accueillera en son sein des alternatives concrètes, des espaces d’entraide, une friperie, une Amap, un atelier de réparation de vélo.

« S’enraciner sur le territoire »

« Faire fleurir partout en France ce type d’espace est indispensable si nous voulons gagner la bataille culturelle, estime la porte-parole d’Alternatiba, Juliette Caroulle. Ces lieux sont de véritables portes d’entrée vers le mouvement climat. Ils permettent de recruter de nouveaux militants, de s’enraciner sur le territoire, d’accompagner les luttes locales. »

À Paris, la Base a été un puissant catalyseur pour les mobilisations climat de 2019 à 2022. © L-A.C / Reporterre

Le phénomène est en pleine expansion même s’il prend du temps. « Il faut entre un ou deux ans pour ouvrir un lieu », précise la militante. Un groupe affinitaire doit d’abord se constituer, apprendre à se connaître, prospecter et chercher des financements. Le coût, non plus, n’est pas négligeable. Il faut compter plusieurs centaines de milliers d’euros pour acheter un lieu, et des dizaines de milliers d’euros chaque année pour le louer.

De premières expériences servent d’exemples. À Paris, la Base a été un puissant catalyseur pour les mobilisations climat de 2019 à 2022. Pendant trois ans, le lieu a fourmillé d’activités rassemblant près de 18 000 adhérents qui se retrouvaient autour d’un verre, d’une conférence, d’un atelier de fabrication de banderoles ou d’une formation en désobéissance civile. Le bâtiment servait autant de bureau que de lieu de stockage ou d’espace convivial. C’était une vitrine et une base arrière pour des actions d’envergure, comme le blocage de « la République des pollueurs » au printemps 2019 lorsque 2 000 activistes ont envahi La Défense.

« Il nous fallait un lieu collectif pour porter notre voix » 

« La Base a clairement marqué une étape, se souvient Victor Vauquois, de l’association Terres de lutteElle a contribué à donner au mouvement climat une présence permanente. À l’époque, avec l’arrivée massive de néomilitants, on ne pouvait plus se réunir de manière informelle dans nos apparts ou dans les cafés, il nous fallait un lieu collectif pour porter notre voix. »

Historiquement, c’est au Pays basque que cette stratégie a été éprouvée par les écologistes. Dès le début des années 2010, l’association Bizi avait repris et acheté Le Patxoki, un bar à Bayonne qu’elle avait transformé en QG. « Au Pays basque, c’est une tradition courante dans le mouvement alternatif et indépendantiste, raconte le militant Txetx Etcheverry. Chaque parti, syndicat et collectif possède des bars-tavernes avec lesquels il se finance et récupère un peu d’argent pour ses luttes. Ces lieux sont les dernières survivances d’un mode de vie communautaire. »

Au début du XXe siècle, avec l’exode rural, de nombreux paysans basques ont dû migrer vers la côte. Pour conserver leur sociabilité villageoise, ils ont acheté en commun des « peñas », de grands espaces partagés où l’on peut se retrouver, se restaurer, chanter, danser et, évidemment, faire de la politique. « Ces lieux ont structuré le militantisme local. En toute logique, les écologistes se sont nourris de cette histoire », explique le membre fondateur de Bizi.

« Reprendre le pouvoir sur nos vies »

Le besoin de créer des lieux dépasse aujourd’hui largement le mouvement strictement écologiste. Tout le camp émancipateur (la gauche, les autonomes, les syndicats) y voit une évidence pour prolonger son combat. Alors que la lutte contre la réforme des retraites s’essouffle dans la rue, des militants s’échinent à ouvrir des Maisons du peuple qui pourraient servir de « point d’appui pour diverses formes d’action ». À Toulouse, un ancien local de la SNCF a été squatté après la manifestation du 1er Mai. Un bâtiment de Rennes a aussi fait office de base de ralliement, mais les occupants ont vite été expulsés par la police.

La Talvère, dans le Lot, se définit comme un tiers-lieu autogéré et laboratoire des communs. Facebook/La Talvère

Même la gauche institutionnelle s’y met. Alors qu’elle avait précédemment parié avant tout sur le numérique, La France insoumise vient de lancer sa première campagne d’achat de locaux. « C’est une attente qui nous est remontés des groupes sur le terrain, confie le député Antoine Léaument. L’objectif est d’ouvrir d’ici à la prochaine campagne présidentielle des dizaines de lieux dans des territoires qui pourraient basculer en notre faveur, ajoute-t-il. C’est une façon pour nous de structurer le mouvement et d’accroître notre visibilité dans des circonscriptions abandonnées par les politiques néolibérales et gagnées à l’extrême droite. » Un premier local va être inauguré à Perpignan cet été au cœur d’un fief du Rassemblement national.

De manière plus souterraine, le courant municipaliste, libertaire et autogestionnaire tisse sa toile avec une constellation de lieux sur le territoire. Depuis quatre ans, la foncière Antidote rachète des bâtiments et des terrains pour en faire des espaces collectifs ouverts sur l’extérieur, et défend une éthique résolument anticapitaliste et antipatriarcale. Il s’agit de favoriser partout les communs. « L’objectif n’est pas de recourir à la propriété privée mais au contraire de la neutraliser pour créer des lieux que personne ne possède mais qui sont utiles à beaucoup dans nos luttes et aspirations politiques », affirme l’un de ses membres.

Dans l’ouest de la France, le collectif Nantes en commun s’est aussi constitué autour de l’acquisition de lieux pour bâtir son autonomie et résoudre les enjeux liés à la subsistance. Après avoir fait 9 % aux municipales en 2020, le groupe de militants a acquis un bar, le Chapeau rouge, des terres en périphérie de la ville pour des cultures vivrières et un moulin hydroélectrique.

« Faire exister ici et maintenant le monde auquel on aspire »

« C’est une manière de reprendre le pouvoir sur nos vies et de répondre à nos besoins fondamentaux, l’énergie, l’alimentation, le lien social, explique une de ses porte-paroles, Margot Mekdour. Ces lieux sont des contre-institutions, des espaces que l’on arrache à l’embourgeoisement et au marché. Grâce à eux, nous menons une politique du quotidien », dit-elle.

Des initiatives similaires, ou proches idéologiquement, s’épanouissent également ailleurs. À Commercy, par exemple, dans la Meuse, l’immeuble de la Convive a été transformé en centre social autogéré. Le lieu est né de la rencontre entre des militants du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), des Gilets jaunes et des habitants du quartier. « Évidemment, on a une visée de transformation sociale, raconte un de ses membres, Joël. On est nourri de la pensée de (Murray) Boockchin et du communalisme. Mais, dans ce lieu, on ne va pas l’affirmer haut et fort ni le dire, on va simplement l’expérimenter, le vivre très concrètement, en créant une permanence d’accès au droit, une bibliothèque ou des cantines populaires. »

Pour les un an des Gilets Jaunes, une vingtaine de collectifs avaient ouvert en 2019, une Maison des Peuples à Paris. © NnoMan / Reporterre

Pour le sociologue Laurent Jeanpierre, après des décennies d’échec de la « politique confrontative » et des luttes frontales, ces lieux sont justement des espaces où l’on peut mener « une politique préfigurative ». C’est-à-dire « le fait de faire exister ici et maintenant le monde et les formes de vie auquel on aspire ».

Un manque criant

Ce besoin a été particulièrement visible lors de la révolte des Gilets jaunes. « La construction de cabanes et l’occupation des ronds-points ont été l’expression d’un manque criant de lieux et d’un besoin réel de se retrouver », souligne le chercheur. À l’époque, un appel à créer partout des maisons du peuple avait déjà circulé et le gouvernement avait redoublé d’efforts pour réprimer ces velléités de construction, envoyant les bulldozers à la périphérie des villes pour raser cette « gigantesque zad (zone à défendre) ».

« Dans les années 2010, on a d’abord cherché des points d’ancrage dans l’espace public avec le mouvement des places, Nuit debout ou encore les Gilets jaunes. Mais cela ne tient pas sur le long terme, précise Laurent Jeanpierre. Alors que de nouvelles luttes sur l’écologie ou contre l’aménagement prennent de l’essor, « il paraît désormais indispensable de créer des espaces plus autonomes, moins fragiles et neutralisables ». Des nouveaux chez-soi militants pour attiser la révolte.


Alors que les alertes sur le front de l’environnement continuent à l’approche de l’été, nous avons un petit service à vous demander. Nous espérons que 2023 comportera de nombreuses avancées pour l’écologie. Quoi qu’il arrive, les journalistes de Reporterre seront là pour vous apporter des informations claires et indépendantes, tout au long de l’année.

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En Juin à la BASE

  • Tous les Samedis, à 10h : ramassage des déchets dans le Paillon, avec Nice plogging, Alternatiba, et les Diables bleus
  • Samedi  3 juin, 20h30 : les Diables Bleus présentent: Les RATONNES LAVEUSES en concert à 20h30
  • Lundi 5 juin 19h à 21h : : Alliance Ecologique et Sociale – GT « Terres fertiles » 
  • Vendredi 9 juin 19:00: Apéro et TRAMBALETI – balèti en plein air !! Quai Verany avec les Diables Bleus
  • Samedi 10 juin de 15h à 18h: Atelier pochoirs (lettrage pour Tshirts et banderoles) avec Dernière Rénovation
  • Lundi 12juin, 19h-21h : Réunion mensuelle Alliance Ecologique et Sociale
  • Jeudi 15juin, 19h30-22h : Soirée COOOL mensuelle ! Bar ouvert. On peut apporter à manger ce qui nous fait plaisir de partager.
  • Samedi 24 juin, 19h30-22h00: Soirée ciné/présentation de l’association PEP2A: promouvoir et de développer les énergies renouvelables par et pour les habitants.
  • Dimanche 25 juin, 9h00-17h00: Formation à la désobéissance civile non-violente avec le groupe ANV/XR. Formulaire d’inscription à remplir
  • Samedi 1er juillet, 14h – 18h : Gratifringues avec Zéro Déchet Nice

Construire ensemble notre bibliothèque militante participative avec inventaire.io

Sur ordinateur ou téléphone tout le monde s’y est connecté

Hier nous avons partagé une sympathique soirée studieuse où nous avons appris ensemble à utiliser inventaire.io et nous avons créé la BiblioBASE! Merci aux participant·e·s.

Dans la bibliothèque des Diables Bleus nous avons libéré un espace pour les échanges de livres


Pour celleux qui auraient voulu venir ou qui sont intéressé·e·s par l’initiative, voilà ci-dessous un guide pour comprendre comment cela fonctionne. C’est très simple, avec un peu d’aide, tout le monde y est arrivé!

Vous pouvez aussi directement aller découvrir notre nouvel outil Bibliothèque! <– en suivant ce lien!

En attendant de chouettes échanges autour de nos lectures, on vous souhaite un bon weekend et à très bientôt à la BASE!